15 septembre 2014
Ce que je vois, ce que je touche.
Cette souche devait faire un bon mètre de diamètre.
Elle avait déjà passé plusieurs hivers et étés, à supporter la pluie, le soleil, le gel, le vent, elle avait cette teinte magique qu'aucun vernis, qu'aucune lasure ne savent reproduire...
Elle était douce, chaude, accueillante, le siège idéal au milieu de toute cette végétation.
On pouvait presque encore sentir le battement de son coeur...
Communion ?
Publicité
Publicité
Commentaires
V